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L'auteur raconte son adolescence dans ce cinquième tome de la série.

Un grand récit d’initiation picaresque, savoureux et poignant. Avant de « descendre combattre à la Fosse » le père d’Aldobrando sachant son heure venue, le confia à un mage. Celui-ci devrait le protéger et l’éduquer jusqu’à ce qu’il soit en âge de découvrir le vaste monde. Quelques années plus tard, voilà que la préparation d’une potion tourne au drame. Grièvement blessé à l’œil par un chat qui ne voulait pas bouillir, le mage demande à son jeune protégé d’aller en urgence lui quérir l’Herbe du loup. Mais comment peut-on se débrouiller en botanique alors que l’on n'a jamais mis un pied dehors et que l’on tombe nez à nez avec l’assassin du fils du Roi de Deux Fontaines ?

Michèle sort de son pull une carte postale. Elle m'annonce que c'est MA MAMAN QUI L'A ÉCRITE!!! Michèle me dit alors, en me regardant droit dans les yeux, qu'elle veut bien me la lire mais que je dois d'abord lui promettre que je ne parlerai à personne de cette carte.

L'adolescence de Riad, de ses 10 ans à ses 14 ans, l'histoire de sa famille franco-syrienne et du coup d'Etat de son père.

De 1978 à 1984, Riad Sattouf, dont le père est syrien et la mère bretonne, raconte son enfance entre la Libye et la Syrie. La famille s'installe, en 1984, dans le village du père proche de Homs. Le petit garçon blond découvre la loi du plus fort au milieu de ses cousins. Le père de Riad, qui veut en faire un Arabe éduqué et moderne, l'élève dans le culte des grands dictateurs arabes.

L'Arabe du futur raconte la jeunesse de Riad Sattouf au Moyen-Orient. Dans ce troisième tome (1985-1987), après avoir suivi son mari en Libye puis en Syrie, la mère de Riad ne supporte plus la vie au village de Ter Maaleh. Elle veut rentrer en France. L'enfant voit son père déchiré entre les aspirations de sa femme et le poids des traditions familiales.