Sans nostalgie, mais avec une mémoire intacte et un humour à la Pagnol, Alain Paraillous nous parle de son école bien sûr (entre 1950 et 1960), mais aussi de celle de ses parents et de ses grands-parents, nous enchantant d'un récit où revivent l'estrade et le tableau noir, les dictées quotidiennes, les pupitres à deux places, inclinés, en bois ciré, dont l'odeur se mêlait à celle de la craie blanche.